Témoignage de  Bibianne Thibodeau

   Mon nom est Bibianne Thibodeau, je suis ici ce soir afin de partager avec vous mon témoignage de foi, mon cheminement avec Dieu. Je vais y aller de cette façon:
   Qui j’étais avant de connaître Dieu (brève description)
   De quelle façon je l’ai connu ?
   De quelle façon il m’a consolé ?
   Comment il embellit ma vie ? Lire le reste de cet article » »

Témoignage de Paul Morin

Je suis né le 14 septembre 1952 à St-Côme. Mes parents étaient catholiques pratiquants. Très jeune, j’ai été habitué à aller à l’église et à prier matin et soir en famille. Chez nous, c’était obligatoire d’aller à la messe; même devenu adolescent au milieu des années soixante, j’y allais de plein gré, l’habitude avait été créée.

J’ai eu une adolescence assez tranquille. Je pratiquais la culture physique comme sport, et je mettais mon orgueil dans mon physique; c’était comme un culte. Lire le reste de cet article » »

Témoignage de Benoît Jacques

Avant de recevoir la vie éternelle, ma vie ne comportait pas trop de problèmes. Je n’avais que des buts pour ici-bas et je ne m’en faisais pas trop avec le sens de la vie. J’étudiais pour obtenir une carrière et profiter au maximum de ce que la vie pouvait m’offrir.   Lire le reste de cet article » »

Bonjour, voici mon témoignage.

 J’ai toujours été une personne assez religieuse, ayant été élevée dans une famille catholique.  J’allais à la messe à toutes les semaines avec ma famille, et je prenais cela au sérieux.  Je priais et j’espérais aller au ciel après ma mort, parce qu’à mes yeux, j’étais une jeune fille très sage et très pieuse.  Je ne buvais pas, je ne fumais pas, je ne sacrais pas et j’allais à l’église à chaque semaine.  Je me pensais bien correcte face à Dieu, je me considérais une bonne personne. Toutefois, comme je n’étais pas absolument certaine d’aller au ciel, j’avais peur d’aller en enfer, cet endroit terrible de souffrances dont la Bible nous avertit que l’on ne pourra jamais en ressortir: « Et ceux-ci iront au châtiment éternel… » (Matthieu 25:46a). Lire le reste de cet article » »

 Je m’appelle Mario Veilleux

A l’âge de vingt ans, j’ai commencé des études en Administration à l’Université Laval à Ste-Foy. Vivre cette nouvelle étape de ma vie, loin de ma famille et de ma région, m’a conduit à me poser avec une nouvelle intensité de nombreuses questions comme par exemple: Pourquoi est-ce que je vis? Et pour quoi? Qu’est-ce que l’avenir me réserve? Pourquoi tant suer et travailler à étudier quand la mort peut survenir n’importe quelle seconde? Qu’est-ce qui arrive à la mort justement? La vie vaut-elle la peine d’être vécue, après tout? Lire le reste de cet article » »

Voici mon témoignage

Il y a plusieurs années que je suis une mère de famille travaillant à l’extérieur du foyer. À part la routine et la course folle du boulot-maison, maison-boulot, j’avais une vie tranquille et rangée, comme on dit. Pourtant, malgré tout cela, j’étais une personne qui restait insatisfaite de la vie dans tous ses domaines, je n’étais pas vraiment heureuse et je cherchais ce qui pourrait m’apporter le bonheur et remplir le vide qui était présent en moi. Je pensais que je pouvais y arriver en y mettant plus ou moins d’efforts et en essayant d’attraper tout ce qui pourrait combler mes désirs.  Lire le reste de cet article » »

Témoignage de Luc Thibaudeau   

Je suis le neuvième d’une famille de douze enfants. Nous étions six gars et six filles. A travers cette grande famille, j’ai eu une adolescence rangée. J’aimais modérément les études, beaucoup le sport et passionnément les filles. Comme beaucoup de garçons de mon âge, j’étais assez indifférent vis-à-vis la religion. J’allais à l’église aux grandes occasions. Lire le reste de cet article » »

 * Notre meilleure assurance réside dans les promesses de Dieu, et non pas dans notre vécu. 

* Voir, entendre, aimer. La vie est un cadeau dont je défais les ficelles chaque matin, au réveil.                  

* Nous ressentons et évaluons assez facilement ce que les autres nous font souffrir; mais pourquoi ce que nous faisons souffrir! aux autres, nous en tenons si peu compte.

* Le pire moment de l’athée est celui quand il est reconnaissant mais il ne sait point à qui adresser ses remerciements. (W. Ward ) Lire le reste de cet article » »

Voici deux ans , un Autrichien, Rudolph Bauer, s’est mis en route pour relier Vienne à Salzbourg en marchant… sur les mains . Son projet était de couvrir les 360 kilomètres en quatre mois, à la vitesse moyenne de trois kilomètres par jour.

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