LES ROIS et les princes entretenaient autrefois à la cour un personnage qu’on appelait « le fou », et dont le rôle était de divertir les souverains. Le fou était un bouffon qui , par toutes sortes de gestes et de plaisanteries dépourvues de sens devait faire rire ses auditeurs.  On raconte l’histoire d’un roi qui avait un fou qui était passé maître dans son art. Un jour, le roi donna une baguette à son bouffon, en lui disant : « Si tu trouves un plus fou que toi, donne-lui cette baguette ! » Lire le reste de cet article » »

Quelqu’un a dit : « Quand un chrétien dort, Satan marche sur la pointe des pieds pour ne pas le réveiller.» Il mit un temps où le diable était comme un lion rugissant, rôdant autour des fidèles, cherchant qui il pourrait dévorer ( 1 Pierre 5:8) . Il n’a plus guère cette peine de nos jours, du moins dans nos pays. Il n’a aucune raison de faire allumer des bûchers et de persécuter des croyants qui ne le gênent pas. Pourquoi ferait-il brûler les bibles? Lire le reste de cet article » »

 Un vieux et sage prédicateur se rendit dans un collège pour y prêcher aux bacheliers. Après son sermon il s’attarda avec les élèves de la classe supérieure. Il s’entretint avec un jeune et brillant, appelé Robert . La première question qu’il lui posa fut : Lire le reste de cet article » »

 Un fermier avait un vieil âne, très vieux et bien faible. Un jour, il trouva la pauvre bête qui était tombée dans un trou profond.  Mon pauvre vieux, dit-il, que vais-je faire de toi? Jamais je ne pourrai, à moi seul, te tirer de là ! Chercher du secours ? Ce serait bien difficile et bien coûteux, plus que tu ne vaux ! D’ailleurs, même si on t’en tirait, tu ne vivrais plus bien longtemps… Non, décidément, il n’y a qu’une chose à faire: je vais tout simplement t’enterrer là au fond !  Sur quoi le fermier prit une pelle et se mit à jeter de la terre dans le trou. Lire le reste de cet article » »

Voici deux ans , un Autrichien, Rudolph Bauer, s’est mis en route pour relier Vienne à Salzbourg en marchant… sur les mains . Son projet était de couvrir les 360 kilomètres en quatre mois, à la vitesse moyenne de trois kilomètres par jour.

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Dieu s’intéresse bien plus à notre caractère qu’à notre confort. Son plan consiste à nous rendre parfait, et non à nous chouchouter. C’est ainsi qu’il permet toutes sortes de circonstances propres à forger notre caractère : conflits, déceptions, difficultés, tensions, temps de sécheresse, et contretemps.

 Celui qui prie reçoit de grands bienfaits de sa prière, avant même de      recevoir ceux qu’il demande. La prière calme les troubles de  l’âme, apaise la colère, chasse la jalousie, éteint la cupidité, diminue et dessèche l’attachement aux biens de cette terre, met l’esprit dans une paix profonde et, en fin de compte, élève jusqu’au ciel.

(Jean Chrysostome)